Les froids
Avez-vous reconnu le parfum de l'air actuel? Dans ma ville, et je ne pense pas qu'elle soit l'unique, il règne désormais un parfum de fraicheur, pas de celui qu'on nous assene dans les publicités de chewing gum, mais de celui qui vous fait frissonner quand vous le ressenter et qui remonte de vos pieds à votre tête, en passant par vos mains, qui ne peuvent qu'espérer la chaleur de poches protectrices. J'adore cette expression de la météo et du temps qui, pour nous prévenir qu'un hiver s'approche de notre présent, nous parle par le vent et la température.
On y fait peut-être plus assez attention, mais les signes naturelles qui précèdent la période hiverales provoque d'innombrables changements, dans nos attitudes, nos esprits et la nature elle-même: les feuilles des arbres tombent, le soleil se lève plus tardivement, le vent se montre plus aggressif... On a apprit depuis des années que tout cela, bah c'est bête, c'est l'hiver, quoi, que je m'en étonne beaucoup plus que si ça avait été quelque chose à apprendre que de voir tout cela: c'est quelque chose à réapprendre.
Réapprendre à observer la nature, au fil du temps, qui par des saisons nous dévoile un panache de styles et de couleurs féériques; réapprendre à assumer ce froid qui malgré toute les couches de protection que l'on voudra mettre entre lui et nous, sera toujours là, infléxible, lui il s'en fout, il n'a pas besoin de se protéger de nous (même s'il devrait); réapprendre à penser à ce qu'il faut vraiment pour réussir à passer un hiver, et aussi penser à certain qui n'auront peut-être pas tout; réapprendre à vivre, peut-être, modifier son idée comme le sol se blanchit pour paraître plus calme. La neige, je l'attends avec beaucoup d'impatience. Lorsqu'elle glisse sur Terre pendant la nuit, le réveil est parfait, silencieux, respectueux. Lorsqu'elle tombe la journée, elle fait tourner les têtes vers les fenêtres, et grelotté les plus impatients. Lorsqu'elle tombe le soir, c'est que le sommeil sera silencieux...
En bref, j'admire la nature un peu plus qu'avant, ces jours-ci, et je vous en fais donc part par mes maigres mots divers.
On y fait peut-être plus assez attention, mais les signes naturelles qui précèdent la période hiverales provoque d'innombrables changements, dans nos attitudes, nos esprits et la nature elle-même: les feuilles des arbres tombent, le soleil se lève plus tardivement, le vent se montre plus aggressif... On a apprit depuis des années que tout cela, bah c'est bête, c'est l'hiver, quoi, que je m'en étonne beaucoup plus que si ça avait été quelque chose à apprendre que de voir tout cela: c'est quelque chose à réapprendre.
Réapprendre à observer la nature, au fil du temps, qui par des saisons nous dévoile un panache de styles et de couleurs féériques; réapprendre à assumer ce froid qui malgré toute les couches de protection que l'on voudra mettre entre lui et nous, sera toujours là, infléxible, lui il s'en fout, il n'a pas besoin de se protéger de nous (même s'il devrait); réapprendre à penser à ce qu'il faut vraiment pour réussir à passer un hiver, et aussi penser à certain qui n'auront peut-être pas tout; réapprendre à vivre, peut-être, modifier son idée comme le sol se blanchit pour paraître plus calme. La neige, je l'attends avec beaucoup d'impatience. Lorsqu'elle glisse sur Terre pendant la nuit, le réveil est parfait, silencieux, respectueux. Lorsqu'elle tombe la journée, elle fait tourner les têtes vers les fenêtres, et grelotté les plus impatients. Lorsqu'elle tombe le soir, c'est que le sommeil sera silencieux...
En bref, j'admire la nature un peu plus qu'avant, ces jours-ci, et je vous en fais donc part par mes maigres mots divers.